(Résultats et commentaire mis en ligne le 28.10.2022)
Comme elle s'y était engagée au début de son 2ème mandat, Christine LE NABOUR proposera des consultations régulières sur des sujets d'actualité : 10 questions maximum, auxquelles chacun peut répondre et ainsi s'exprimer.
Après "Le Pouvoir d'achat" qui a eu lieu du 13 au 31 juillet 2022 et dont vous pouvez trouver les résultats en cliquant ici, la 2ème a porté sur le thème "Travail et Emploi", à l’occasion de l’examen du Projet de loi en vue du Plein emploi actuellement examiné à l’Assemblée nationale. Cette 2ème Consultation était ouverte du 4 au 22 octobre 2022 ; Vous en trouverez les résultats ci-dessous, ainsi que le commentaire de Christine LE NABOUR en bas de page.
Rappel du préambule :
Depuis des années, le chômage de masse était devenu, pour beaucoup, une fatalité. Il y a 30 ans déjà, certains affirmaient, résignés : "contre le chômage, on a tout essayé" ! Collectivement, nous nous étions "habitués" - spectateurs d’une impuissance politique à inverser la courbe -, aux situations qui découlaient de ce chômage de masse : assignation à résidence, maintien dans la précarité, reproduction des inégalités, …
Les résultats sont là : avec un taux à 7.4% (contre 9.5% en juin 2017), le chômage est à son plus bas niveau depuis 15 ans, et ce malgré la crise liée à la Covid-19. La France est désormais le pays le plus attractif d'Europe, renouant notamment avec la création d'emplois industriels ; L’ apprentissage bat des records (718.000 contrats signés en 2021 contre 295.000 en 2017) ; La formation professionnelle est en plein "boum" grâce à un accès facilité via le Compte Personnel de Formation (CPF)… Des résultats durables : 700 000 emplois ont été créés depuis la fin de la crise sanitaire !
Aujourd’hui, alors que le chômage est encore au dessus des 7%, de nombreux postes restent à pourvoir et les entreprises peinent à recruter. Certaines doivent renoncer à des marchés ou réduire leur activité. Avec la majorité, je porte l’idée d’aller plus loin pour créer les conditions du plein emploi, fixé à 5% par le président de la République. Là est notre objectif et le "Projet de loi Travail" actuellement examiné par l'Assemblée nationale en est un outil.
Et VOUS, VOUS en pensez quoi ?
Participer à la consultation (Vous pouvez répondre et cliquer sur "autre" si vous souhaitez ajouter un commentaire)
Les réponses :
1/ Parmi les 6 affirmations suivantes, avec lesquelles êtes-vous le plus en accord pour expliquer les difficultés de recrutement :
- "Les salaires sont trop bas" à 52.94%
- "Les charges qui pèsent sur les entreprises sont trop importantes" à 47.05%
- "Le système d’indemnisation du chômage n’encourage pas le retour à l’emploi" à 56.86%
- "Les formations ne sont pas adaptées au marché du travail actuel" à 35.29%
- "Les entreprises n’embauchent pas assez" à 1.96%
- "Les conditions de travail ne sont pas ou plus adaptées" à 37.25%
Affirmations proposées dans cet ordre
Les précisions qui étaient apportées :
De 1 à 3 réponses possibles
2/ Pensez-vous, au regard de la situation actuelle, qu’il faut aller plus loin pour inciter au retour à l'Emploi ?
- OUI à 86%
- NON à 8%
- AUTRE : 6%
Les précisions qui étaient apportées :
Pour information : Dans un sondage ELABE d’août 2022, 45% des Français citent "un système d’indemnisation qui n’encourage pas le retour à l’emploi" comme 1ère cause du chômage, devant "le niveau des salaires trop bas" (16%) et "les charges des entreprises trop importantes" (15%)...
3/ Êtes-vous d’accord avec l’affirmation suivante : "personne ne doit pouvoir gagner davantage au chômage qu’en travaillant" ?
- D'ACCORD à 86%
- PAS D'ACCORD à 2%
- AUTRE : 12%
Les précisions qui étaient apportées :
Pour rappel : Avec la suppression des cotisations chômage et maladie dès 2018, c'est en moyenne 260 € de plus par an pour un salarié payé au SMIC. Avec la revalorisation inédite de la Prime d'activité en 2019, ce même salarié gagne l'équivalent d'un 13ème mois. À cela peut s'ajouter la "Prime Macron" (rebaptisée "Prime de Partage de la Valeur") : 4 Millions de salariés en ont bénéficié l'an passé pour un montant de 506 € en moyenne (8 mds € versés par les entreprises depuis sa création en 2018). Autant de mesures pour valoriser Travail. Par ailleurs, la réforme de l'assurance chômage a introduit un nouveau calcul du salaire journalier de référence, décourageant une alternance chômage/Emploi ayant pour simple but le rechargement des droits.
4/ Êtes-vous favorable à une modulation des conditions de versement des allocations chômage, en fonction du dynamisme national du marché du travail ? C’est-à-dire : davantage de protection quand il y a moins d’emplois, et davantage d’incitation lorsqu’il y a plus d’emplois.
- FAVORABLE à 72%
- PAS FAVORABLE à 16%
- AUTRE : 12%
Les précisions qui étaient apprortées :
Le saviez vous : dans l’industrie, 2 entreprises sur 3 peinent aujourd’hui à recruter alors même que la France renoue avec la création d’emplois industriels ; Secteur particulièrement implanté sur notre territoire.
5/ Si vous deviez choisir un levier que vous souhaiteriez voir modulé en fonction du dynamisme du marché du travail, quel serait-il ?
- Le montant de l'indemnisation chômage (dégressivité) à 37.10%
- La durée d'indemnisation du chômage (24 mois aujourd'hui) à 24.19%
- Le nombre de mois de travail requis pour accéder à l'indemnisation chômage (6 sur les 24 derniers mois aujourd'hui) à 20.97%
- Aucun des trois : je ne suis pas favorable à cette modulation ! à 11.29%
- Autre : 6.45%
Leviers proposés dans cet ordre
Les précisions qui étaient apportées :
Exemple : Une durée d'indemnisation plus courte si la conjoncture est favorable à un retour à l'Emploi.
6/ Selon vous, lorsque la conjoncture est favorable, un licenciement pour "abandon de poste" doit-il continuer d’ouvrir le droit à une indemnité chômage ?
- OUI à 27%
- NON à 61%
- AUTRE : 12%
Les précisions qui étaient apportées :
Ce n'est pas l'abandon de poste qui ouvre le droit à l'indemnisation chômage, mais bien le licenciement consécutif à cet abandon de poste. Pour des raisons de droit, celui-ci intervient généralement dans les 2 mois suivant "la faute", sur décision unilatérale de l'employeur. Les droits au chômage ne sont donc ouverts qu'une fois le licenciement prononcé ; La période entre la suspension du contrat de travail pour abandon de poste et le licenciement, n'est donc ni rémunérée, ni indemnisée au titre du chômage.
7/ Notre territoire est déjà au plein emploi (3.5% de chômage sur le Pays-de-Vitré : l'un des taux les plus bas de France). Selon vous, dans ce contexte, sur quel(s) frein(s) à l'Emploi est-il urgent d'agir ?
(Question ouverte - Réponses classées selon les sujets abordés dans les réponses)
- Mobilité et Transports cité à 27.78%
- Logement cité à 19.44%
- Motivations - Salaire - Sens au travail cité à 12.50%
- Solutions de garde pour les enfants cité à 12.50%
- Recours à l'immigration sous conditions cité à 5.56%
- Contre partie à l'indemnisation chômage - Coercition cité à 5.56%
- Conditions de travail, sécurité au travail cité à 4.17%
- Meilleure organisation du travail (vie pro / vie perso) cité à 2.78%
- Mise à contribution de l'employeur (prêt, prise en charge...) cité à 2.78%
- Autre : 6.95%
Les précisions qui étaient apportées :
Exemples : Mobilité/Transport, logement, modes de garde d'enfants...
8/ La Validation des Acquis d’Expérience (VAE) constitue la 3ème voie d’accès à la certification, avec la formation initiale et la formation continue. Vous prononceriez vous en faveur d’un élargissement et d’une simplification ?
- FAVORABLE à 84%
- PAS FAVORABLE à 10%
- AUTRE : 6%
Les précisions qui étaient apportées :
Plus précisément : Le secteur sanitaire est particulièrement impacté par les problématiques de recrutement. Le « Projet de loi Travail » porte une ouverture plus large à la VAE, en autorisant les proches aidants et les aidants familiaux à faire valoir les compétences acquises dans la prise en charge de la dépendance ou de la fin de vie d’un membre de la famille. Il s'agirait là de premiers jalons d'une réforme de la VAE.
La 9ème question était une question ouverte, proposant d'indiquer des propositions et suggestions - Christine LE NABOUR répond au principales dans son commentaire
La 10ème question était une invitation à se rendre au sommet du Plein emploi organisé par Christine LE NABOUR le 18 novembre prochain à Vitré)
Le commentaire de votre députée :
Commentaire global sur les réponses :
Vous êtes une large majorité (86%) à estimer qu’il faut aller plus loin pour inciter au retour à l’emploi (question 2), jugeant (via la question 1) "un système d’indemnisation du chômage pas assez incitatif" comme 1ère cause des difficultés de recrutement (57%) ; devant "les salaires trop bas" (53%) et "les charges qui pèsent sur les entreprises" (47%). Une appréciation qui valide la réflexion portée sur notre système d’indemnisation, confortée par le fait que 72% d’entre vous êtes favorables à une modulation des conditions de versement des allocations chômage en fonction du dynamisme du marché du travail (question 4). Par ailleurs, vous êtes 86% à être d'accord avec l'affirmation "Personne ne doit pouvoir gagner davantage au chômage qu'en travaillant" (question 3).
Sur les mesures :
En préambule de mon commentaire sur les mesures votées dans le cadre de ce Projet de loi, je souhaitais rappeler les actions mises en place, favorables à la hausse des salaires et à la baisse des charges qui pèsent sur les entreprises (causes que vous avez exprimées) :
Concernant le niveau des salaires :
Nous ne sommes pas dans une économie administrée ; L’Etat n’a pas le pouvoir de décréter une augmentation globale, partout et pour tout le monde, comme certains discours tendraient à le faire croire (hors augmentation du SMIC et point d’indice pour les fonctions publiques). L’Etat peut néanmoins créer les conditions pour que le travail paie davantage, via des mécanismes ("Prime d’activité", "Prime Macron", incitation au "dividende salarié" …), mais aussi en favorisant le plein Emploi grâce à une politique globale favorable au Travail. C’est à quoi nous œuvrons, ce qui réinterroge l’attractivité de métiers.
- À titre d’exemple, nous constatons une augmentation moyenne de 16,33% sur l'ensemble des métiers de l’hôtellerie-restauration, grâce à un accord de branche signé en début d’année. Ce n’est pas via des manifestations ou des blocages mais bien par le dialogue social dans un contexte d'emploi favorable, que cette revalorisation a pu se concrétiser pour des milliers d’employés. De même, le Projet de loi "Pouvoir d’achat" voté en juillet dernier, donne à l’Etat le pouvoir de fusionner une branche avec une autre, quand la grille salariale affiche des minima inférieurs au Smic. Là encore, les branches doivent réinterroger leurs grilles salariales.
Concernant les charges qui pèsent sur les entreprises :
Entre 2017 et 2022, la baisse des prélèvements aura été de 26 milliards d'euros au total pour les entreprises (baisse de même ampleur pour les ménages) via différentes mesures dont la baisse de l’impôt sur les sociétés, de 33.3% à 25% pour ramener la France dans la moyenne des pays européens. Une politique qui porte ses fruits puisque la France renoue avec la création d’emplois industriels (depuis 2018 et pour la 1ère fois depuis plus de 15 ans). Cette année encore, notre pays est le pays le plus attractif d’Europe en nombre de projets (pour rappel : 30 558 emplois créés en 2020 grâce aux investissements étrangers, 45 008 en 2021). Pour autant, nous portons là aussi l’ambition d’aller plus loin, partageant le constat que vous êtes 47% à souligner.
- C’est pourquoi le Projet de loi de Finances pour 2023 (PLF 2023) prévoit la suppression de la CVAE (Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises) sur 2 ans, avec 4 milliards d’euros de baisse dès 2023 pour une suppression totale de cet impôt de production en 2024. Là encore, une mesure qui va dans le sens d’une meilleure compétitivité favorable à l’Emploi.
Modulation de l’indemnisation chômage :
Vous avez été 37% à souhaiter une modulation du "montant de l’indemnisation chômage" en fonction du dynamisme du marché du travail (question 5), pour mieux inciter au retour à l’emploi. Cette piste n’a pas été retenue dans la mesure où le montant des indemnisations a déjà été revu via la précédente réforme. En effet, le salaire journalier de référence, qui est la base de calcul de l’allocation, a été modifié afin de décourager l’alternance "chômage / activité" qui avait pour simple but le rechargement des droits. L’indemnisation était auparavant calculée en divisant les revenus par les seuls jours travaillés pendant la période de référence : des règles qui pouvaient rendre plus rémunératrice cette "permittence" par rapport à une activité continue à mi-temps par exemple.
- Désormais, le calcul se fait sur l’intégralité de la période de référence (24 mois ; 36 pour les allocataires de 53 ans et plus) avec un plancher garantissant une allocation minimale. Les impacts de cette réforme d’incitation au travail seront évalués progressivement puisque celle-ci est mise en oeuvre depuis le 1er octobre 2021. Il faut attendre 24 mois, voire 36 mois, pour que les demandeurs d'emploi soient tous en renouvellement de droits. La concertation se poursuit donc pour déterminer ce qui va être modulé : "la durée d’indemnisation" et/ou "le nombre de mois requis pour accéder à l’indemnisation chômage" (que vous avez plébiscités à 24 et 21%). Le ministère présentera ses arbitrages le 21 novembre prochain pour une application, par décret, début 2023.
L’abandon de poste :
Vous avez été plus de 60% à vous opposer au fait qu’un licenciement pour abandon de poste continue d’ouvrir le droit à une indemnité chômage, lorsque la conjoncture est favorable (question 6). L’amendement adopté à l'Assemblée nationale va dans ce sens, en créant une "présomption de démission" ; C’est-à-dire que le salarié qui a abandonné volontairement son poste et ne reprend pas le travail après avoir été mis en demeure à cette fin par son employeur, est présumé démissionnaire (hors raisons de santé ou de sécurité). La disposition adoptée laisse la possibilité au salarié de renverser cette présomption de démission devant le conseil des prud'hommes, via une procédure accélérée, qui statue au fond dans un délai de 1 mois suivant sa saisine.
- En accord avec votre avis majoritaire, c’est un amendement que j’ai voté car il me semble répondre à un phénomène en augmentation constante, désormais dénoncé très régulièrement lors de mes visites dans les entreprises de la circonscription ; L’abandon de poste est un facteur de désorganisation pour l’entreprise, entrainant une surcharge de travail pour les autres salariés. Rappelons par ailleurs que c’est le travail qui finance notre protection sociale, donc notamment le travail de ceux qui restent en poste.
Les freins à lever pour le plein emploi :
Vous avez évoqué "La mobilité / le transport" (28%) devant "le logement" (19%) et "Les modes de gardes" (12.5%) à égalité avec "Les Motivations / salaires" (question 7). Ces 3 premiers enjeux sont majeurs pour notre territoire déjà au Plein emploi, avec un sujet plus global d’aménagement du territoire.
- Mobilité / transport : Le Président de la République avait souligné l'importance des mobilités du quotidien, lors de l’inauguration de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Rennes-Paris (2017). Nous mesurons, aujourd’hui, à quel point cette question est centrale pour favoriser l'accès à la formation et à l’emploi, comme pour l'attractivité des territoires. C'est aussi la raison pour laquelle je me suis mobilisée dès 2020, auprès des élus locaux et de l'association des citoyens, en faveur de la ligne ferroviaire Rennes-Châteaubriant qui dessert des communes du sud-ouest de la circonscription (Saint-Armel, Corps-Nuds, Janzé, le Theil-de-Bretagne, Retiers, et Martigné-Ferchaud). C’est pour cette même raison que je suis favorable aux contournements routiers de Châteaubourg et Vitré, aujourd’hui mis en stand-by par le département.
- Logement : La question de l'accès au logement est cruciale. Chacun doit pouvoir se loger à proximité de son lieu de travail. Au-delà de la nécessité de densifier pour moins dépenser de foncier et l'augmentation des prix de l'immobilier, l'obligation de rénover les logements pour respecter les objectifs d'économie d'énergie et le coût de la rénovation sont des freins identifiés qu'il faut traiter en priorité. Des causes qui peuvent expliquer la difficulté d'accéder au logement mais aussi la constante augmentation du nombre de logements vacants en France depuis le milieu des années 2000.
- Les modes de garde : C’est effectivement un sujet pour de nombreux parents. J’inaugure régulièrement des structures sur la circonscription, comme le 24 septembre dernier à Balazé avec un pôle enfance jeunesse comprenant une micro-crèche. Une attention doit être portée, particulièrement sur notre territoire à forte dynamique d'emploi. Nous avons besoin de multiplier les modes de garde, en particulier celles à horaires atypiques, notamment pour les familles monoparentales.
- Vous n’avez été qu’un peu plus de 5% à évoquer le recours sous conditions à une immigration pour pallier aux difficultés de recrutement dans le cadre du plein emploi. C’est cependant une demande forte des entreprises du territoire, empêchées aujourd’hui d’embaucher une main d’œuvre compétente et motivée. C’est pourquoi je salue la proposition de Gerald DARMANIN - Ministre de l'Intérieur et des Outre-mer, et Oliver DUSSOPT - Ministre du Travail, du Plein emploi et de l'Insertion, visant à créer un titre de séjour pour métiers en tension. Celle-ci sera examinée à l’occasion du Projet de loi immigration prochainement débattu à l’Assemblée nationale. Je la soutiendrai.
La Validation des Acquis d’Expérience (VAE) :
Vous êtes près de 85% à être favorables à une simplification et un élargissement de la VAE (question 8) qui constitue la 3ème voie d’accès à la certification avec la formation initiale et la formation continue. Le vote d'un amendement à l'article 4 du Projet de loi portant mesures d'urgence relatives au fonctionnement du marché du travail en vue du plein emploi, porté par Carole GRANDJEAN - Ministre de l'Enseignement et de la Formation professionnels, va plus loin que le texte initial, portant la démocratisation de cette voie d’accès à la certification. Il crée un véritable service public de la VAE, qui reposera sur une plateforme numérique vouée à devenir un guichet unique. L’objectif est de simplifier pour sortir de la logique administrative, avec des procédures allégées et plus rapides.
Conclusion :
Merci à celles et ceux qui ont bien voulu répondre à ce questionnaire. Le Projet de loi tel qu’il a été voté en 1ère lecture par l’Assemblée nationale semble répondre largement aux sujets évoqués dans cette consultation, et aux réponses majoritaires qui en ressortent. Une Commission Mixte Paritaire (7 députés et 7 sénateurs) s'est réunie ce 9 novembre. Conclusive, les parlementaires se sont entendus sur un texte consensuel qui sera prochainement soumis au vote dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale. Je communiquerai, sur mes réseaux sociaux comme sur mon site, quant à l’adoption définitive de ce texte majeur.
Je vous donne rendez-vous pour une prochaine consultation.
Restez connectés pour répondre aux prochaines consultations !